Program

Le programme "Save Baobabs" consiste à contribuer à la préservation et à la reforestation de la forêt sèche Kirindy Mite, plus grande forêt de baobabs au monde, située à proximité du village de Belo-Sur-Mer, sur la côte sud est de Madagasikara. Notre objectif est de trouver des parrains/marraines à 100.000 baobabs avant la fin du mois de décembre 2020. Cela nous permettra de soutenir le développement et le caractère inclusif et durable du programme basé sur 3 actions essentielles : PLANTER + ENSEIGNER + DÉVELOPPER.

Que plantons-nous ? Dry Forest mis en place 3 pépinières qui abritent des milliers de jeunes pousses nécessaire à le régénération de la forêt. Nous avons démarré avec 12 espèces locales et endémiques, parmi lesquels, notre symbole, le fameux baobab Adansonia Grandidieri. Après 8 mois de germination et de croissance, durant lesquels nous avons soigneusement sélectionné les sites de reforestation avec les autorités forestières locales, les jeunes pousses sont prêtes à être plantées en forêt.

Qu'enseignons-nous ? Dry Forest cherche à améliorer les connaissances écologiques et la conscience environnementale des communautés locales vivant en lisière de la forêt. Nous organisons ainsi des "classes vertes" dans les écoles primaires publiques afin d'enseigner aux enfants comment préserver la forêt et la gérer durablement pour en bénéficier de manière pérenne.

Que développons-nous et qui en bénéficie ? Dry Forest développe des activités génératrices de revenus et des emplois (directs et indirects) en alternative à la culture sur brûlis et à la production de charbon de bois. Les emplois verts tendent à donner davantage de valeur à la forêt, à travers la transformation de produits forestiers non-ligneux telle que la poudre de fruit de baobab.

Simplement parce que les baobabs atteignent l'âge adulte au bout de 3 années

Ils atteignent une hauteur d'à peu près 1m50 à 2m, ce qui est suffisant pour survivre d'eux-mêmes par la suite.

En effet, à travers son programme, Dry Forest assure un suivi des jeunes baobabs jusqu'à ce qu'ils deviennent adultes. Cela est nécessaire pour assurer un taux élevé de survie, et donc le succès du programme.

À ce stade, Dry Forest a trouvé des parrains/marraines à plus de 5.000 bébés-baobabs ! Cela nous a permis de créer 3 pépinières au sein de 3 villages à proximité des la forêt de Kirindy Mité. Elles ont permis de donner naissance à plus de 13.000 bébés-arbres se développant bien, dont 5.000 bébés-baobabs.

En raison de la crise du Covid-19, nous avons rencontré plusieurs challenges. Elle a notamment conduit à la perte de plusieurs milliers d'arbustes n'ayant pu être rempotés à temps, parmi les "espèces utiles". Car au même moment, notre responsable des activités de terrain est tombé malade. Cela dit, il est aujourd'hui de nouveau sur pieds et la majorité de nos jeunes pousses ont survécu. Cette crise renforce l'importance de nos actions dans cette zone reculée.

Dry Forest doit encore trouver un grand nombre de parrains/marraines pour soutenir ses actions de terrain. Nos jeunes plants seront mis en terre entre la fin du mois de décembre 2020 et janvier 2021, au début de la saison des pluies, parce que planter dans une forêt sèche implique le respect d'un calendrier strict.

C'est très simple, il vous suffit de remplir le formulaire sur la page Contribuer afin de nous transmettre :

  • votre nom et votre prénom,
  • votre adresse e-mail,
  • votre ville et pays de résidence,
  • le nombre de baobabs que vous souhaitez parrainer/marrainer ou offrir (anniversaire, naissance, cadeau de noël, etc.).

Dry Forest vous enverra alors un e-mail et une facture. Cette facture est à régler :

  • à l'association partenaire Teratany basée en France,
  • ou directement à Dry Forest Madagasikara via le site YesTransfer.co en envoyant la somme sur le compte Mobile de notre Coodinateur.

Vous pouvez choisir parmi les options ci-dessous selon votre pays de résidence et selon votre convenance.
En reconnaissance de votre contribution, vous recevrez votre certificat personnel de parrainage/marrainage de baobab, à imprimer et encadrer, et à partager sur vos réseaux sociaux ! Le certificat mentionne votre nom et le nombre de baobabs vous parrainez/marrainez (une facture finale peut être jointe sur demande).

Parrainer/marrainer un bébé-baobab durant ses trois premières années équivaut à 5 euros ou 6 dollars (à Madagasikara, le montant du parrainage/marrainage est fixé à 10.000 ariary). Ce prix a été fixé au cours d'une phase expérimentale préalable au projet, en 2019, au cours de laquelle nous avons planté 2.000 baobabs dans la forêt des Mikeas. Depuis, nous avons lancé le programme "Save Baobabs" comme l'explique la partie "En quoi consiste le programme ?".
Dry Forest a créé et gère 3 pépinières, localisées dans 3 villages reculés (Marofihitra, Ambararata and Belo-Sur-Mer) pour être au plus prêt de la forêt de Kirindy Mité, comme vous pouvez le voir sur Google Map. À ce stade, le programme a créé 3 emplois durables directs et 240 emplois indirects. Sachant qu'au sein des communautés locales, chaque famille est composée en moyenne de 6 membres, nous estimons un impact économique positif sur environ 1.400 personnes, et cela grâce à nos marraines et parrains ! Si nous atteignons 100.000 baobabs parrainés/marrainés, nous pourrions contribuer à préserver la plus grande forêt de baobabs du monde, et à éviter sa disparition.

Dry Forest compte plus de 5.000 baobabs parrainés/marrainés.

Les principales organisations marraines sont :

  • l'entreprise française Strong Nonja : 2.000 baobabs ;
  • la Fondation Axian : 2.000 baobabs ;
  • l'hôtel-restaurant Sakamanga : 200 baobabs ;
  • l'entreprise malagasy FuturMap : 145 baobabs.

De plus, un grand nombre de parrains/marraines sont des citoyens de tous horizons avec une moyenne de 10 baobabs parrainés/marrainés.

Chez Dry Forest, nous croyons au vieux proverbe africain "Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin !". Il prend pour nous tout son sens lorsqu'il est appliqué à la préservation et à la régénération de la forêt.

Dry Forest espère vous compter prochainement parmi les membres de sa communauté de "baobab-lovers" et de "baobab-defenders".